Notre FAQ

Il n’y a pas de norme. L’essentiel, c’est que chacun se sente prêt, soit consentant, se respecte et respecte son/sa partenaire.

Si l’on se réfère aux statistiques qui paraissent un peu froides, surtout quand il s’agit d’expériences amoureuses, l’âge moyen de « la première fois » est de 17 ans et le plus souvent pendant la période de vacances. Mais on n’est pas un(e) attardé(e) si ça se passe plus tard et on n’est pas non plus un(e) obsédé(e) si on est en avance par rapport à cette moyenne. L’important c’est de le faire avec la bonne personne, au bon moment.

Presque tous les garçons et près d’un homme sur trois se préoccupent de la taille de leur pénis… et pourtant elle n’influence pas son bon fonctionnement, ni son efficacité. Il ne faut pas avoir de grands pieds pour courir vite . Il n’y a pas de taille « normale », on ne peut parler que de moyenne : au repos le pénis mesure entre 7 et 11 cm avec un diamètre de 3 cm ; en érection, il mesure entre 12 et 20 cm avec un peu moins de 4 cm de diamètre.

L’enfant n’a pas le choix. Le tribunal saisi de la question prendra son avis afin de mieux déterminer son intérêt. L’avis de l’enfant est obligatoirement pris dès l’âge de 12 ans. La jurisprudence est souvent de laisser le jeune âgé de 16 à 18 ans rendre visite à ses parents à son gré.

Non. Il n’y a pas de lien juridique entre les obligations alimentaires et l’hébergement.

Après éjaculation, le pénis se ramollit naturellement. Le garçon ou la fille ne doit pas tarder à « se retirer» en tenant bien, à la base du pénis, le préservatif car il peut alors glisser et se retrouver coincé dans le vagin.

Chacun de nous a son propre rythme en matière de sexualité. On peut être parfaitement formé(e), avoir un corps sexuellement mature sans pour autant se sentir prêt dans sa tête et dans son coeur. Et pourtant, les trois éléments sont importants, soyons à l’écoute de nous-même…

Chez les garçons, la relation sexuelle, qu’il s’agisse de la première ou de la suivante, n’est en principe jamais douloureuse. Chez les filles, il peut arriver que la pénétration soit douloureuse. Le vagin étant un muscle qui se détend et s’humidifie (mouille) avec l’excitation sexuelle, il est donc important de consacrer du temps aux célèbres préliminaires. Si le vagin est bien dilaté, souple et humide, il est alors prêt à être pénétré sans douleur. La première fois, il vaut mieux que la pénétration se fasse en douceur.

Rares sont ceux qui n’ont pas peur la première fois… Les garçons craignent de ne pas savoir s’y prendre, de ne pas être à la hauteur ou de faire mal. Quant aux filles, l’idée du sang, de l’hymen déchiré et de la douleur suffisent à angoisser… Et pourtant, même si le sexe en érection semble trop gros pour pénétrer, l’excitation sexuelle provoquée par les caresses et le sentiment amoureux modifient la vulve et le vagin, les lubrifient et les rendent prêts à l’accueillir. Les filles n’attendent pas forcément d’un garçon qu’il soit performant mais plutôt attentif à elles. Tout le monde a ou a eu une première fois…

Généralement, les filles saignent un peu suite à la rupture de l’hymen. C’est une membrane élastique qui borde l’orifice du vagin et en ferme plus ou moins l’entrée. Lors du premier rapport sexuel, les bords de cet hymen sont rompus et peuvent donc provoquer un léger saignement. Si l’hymen est fin et souple, on ne saigne pas du tout et cela peut étonner.

Ici, pas de règle, les deux peuvent aborder la question du préservatif. Même si la question paraît gênante, il vaut mieux l’aborder avant la relation, cela permettra aux partenaires d’être plus détendus pendant la relation.

Lors d'une relation sexuelle avec ou sans pénétration (pénétration vaginale ou anale, fellation, cunnilingus, anulingus, contact sexe contre sexe).

Pour ne pas être contaminé, les liquides corporels contaminants (sang, sperme, liquide séminal et sécrétions vaginales principalement) ne doivent pas entrer en contact avec les muqueuses génitales, anales ou buccales, ni avec une lésion cutanée de son/sa partenaire, et vice-versa.

Les signes peuvent être nombreux:

- Rougeurs, petites plaies, bouton au niveau des organes génitaux.

- Ecoulements anormaux par le vagin ou le pénis, ces écoulements peuvent être malodorants et provoquent généralement des brûlures et des démangeaisons au niveau du sexe.

- Douleurs lors des rapports sexuels ou dans le bas du ventre.

Les IST peuvent aussi n'avoir aucune manifestation visible tout en continuant à évoluer, et ne se manifester que lors de l'apparition de complications graves.

A titre d'information, seul le préservatif (féminin ou masculin) protèfe des IST.

Il existe de nombreux moyens de contraception et il est important de bien le choisir.

- Le préservatif masculin (externe)

- Le préservatif fémnin (interne)

- La pilule (presciption médicale)

- Le patch hormonal (il s'agit d'un patch à coller sur la peau et à remplacer chaque semaine - prescritpion médicale)

- L'anneau vaginal (prescription médicale)

- L'implant (prescritpion médicale)

- Le stérilet (hormonal ou en cuivre - prescription médicale)

- Piqûre contraceptive (prescription médicale)

- Cape cervicale

- Diaphragme

Attention! La contraception d'urgence (pilule du lendemain et/ou du surlendemain) est à utiliser en dernier recours.  

Il est important de rencontrer un médecin généraliste ou un gynécologue afin de faire le bon choix en matière de contraception.

A titre d'nformation, le préservatif masculin et le préservatif féminin protègent aussi bien d'une grossesse non désirée que des IST, ils offrent donc chacun une double protection (grossesse et maladie).

Une femme peut tomber enceinte même si l'homme utilise la méthode du retrait. Cette méthode consiste à se retirer au moment de l'éjaculation et à éjaculer hors du vagin.

Cette méthode n'est pas du tout fiable. En effet, le liquide séminale (liquide sécrété par le pénis avant l'éjaculation) contient des spermatozoïdes, une grossesse peut donc avoir lieu même s'il n'y a pas eu éjaculation dans le vagin.

il est important aussi de signaler que l'homme ne peut pas toujours contrôler son éjaculation.

Ces méthodes visent à l'auto-observation des cycles féminins.

Il faut repérer les jours "fertiles" (ceux où la femme ovule) et éviter les rapports sexuels pendant cette période. Cette observation peut se faire de plusieurs façons:

- Par le décompte des jours

- Par la prise de la température corporelle (celle-ci augmente en période d'ovulation)

- Par l'aspect des sécrétions du col de l'utérus (à l'approche de l'ovulation, ces pertes blanches deviennent plus abondantes et fluides).

Attention, cette méthode est peu fiable car les cycles ne sont pas réguliers chez toutes les femmes, et les périodes d'ovulation peuvent varier suite à certains événements externes (fortes émotions,etc.) mais ausi sans explications précises.

L'auto-observation est contraignante, elle nécessite de bien connaître son corps.

Attention, les apllications que l'on télécharge ne permettent en rien de déterminer de manière scientifique la période d'ovulation.

" En matière de sexualité, il est essentiel de respecter les limites et le timing de son/sa partenaire"

En Belgique, la majorité sexuelle est fixée à l'âge de 16 ans, "ce qui veut  dire qu'on peut avoir des relations sexuelles librement consenties avec autrui dès l'âge de 16 ans".

Si le jeune a un rapport sexuel entre 14 et 16 ans, le législateur considère alors qu'il y a attentat à la pudeur, qu'il y ait consentement ou non. Mais dans les faits, cela relève de l'appréciation des juges au cas par cas.

Cependant, avant 14 ans, tout acte de pénétration sexuelle est strictement interdit et est considéré comme étant un viol et ce, même si la victime est consentante.

"Tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu'il soit et par quel moyen que ce soit, commis sur une personne qui n'y consente pas, constitue le crime de viol.

Il n'y a pas de consentement notamment lorsque l'acte a été imposé par violence, contrainte ou ruse, ou a été rendu possible en raison d'une infirmité ou d'une déficience physique ou mentale de la victime.

Pour plus d'informations au niveau légal, voici le lien vers le site d'InforJeunes: http://www.jeminforme.be/index.php/vie-affective-familiale/des-questions-sur-la-sexualite/la-loi-et-la-sexualite

Afin de savoir si mon ou ma partenaire est consentante, il est important de communiquer et de poser clairement la question!

Lorsque je m'apprête à avoir un rapport sexuel, il est important de donner mon consentement mais aussi de s'assurer du consentement de mon/ma partenaire.

En général, les premières règles arrivent vers 13 ans, mais parfois, elles peuvent arriver plus tôt ou plus tard selon les filles.

La première fois est souvent source de stress, d'angoisse. On se pose des questions, on apeur de mal s'y prendre, d'aller trop vite...

Quesque mon/ma partenaire aime ou n'aime pas? il est important d'en parler car les gestes sont souvent maladroits. La première fois se passera d'autant mieux si l'on se sent à l'aise avec son/sa partenaire ou si l'on est en train de vivre une véritable relation.

Même si pour une majorité la première fois se passe bien, on peut être déçu(e), peut-être parce que l'on y a mis trop d'espoir. Ce n'est pas grave parce que c'est souvent par la suite que les plaisirs se dévoilent pleinement...

La sexualité est une aventure que l'on apprivoise et découvre tout au long de la relation.

Il est important de ne pas oublier que dans un film porno, nous voyons des acteurs et des actrices qui jouent un rôle. Cette forme de sexualité n'est pas la norme et n'est pas tout à fait le reflet de la réalité.

En effet, l'image de l'homme et de la femme qui y est donné ne reflète pas la réalité (chirurgie esthétique au niveau des seins...injection afin d'augmenter le volume de l'éjaculation, traitements médicamenteux pour ce qui est de la taille du pénis, anesthésiant donné aux femmes afin d'éviter les douleurs lors de la sodomie...).

Le fait de faire plusieurs plans lors de la relation sexuelle donne l'impression que le rapport peut durer 25 minutes. A titre d'information, le temps moyen de la pénétration est de 3 minutes.

La violence y est souvent banalisée, les pratiques hors-norme sont souvent valorisées et ce que l'on voit n'est pas forcément la réalité.

La vision de ce genre de film peut générer différents complexes, perturber, choquer ou encore faire croire que l'on est pas normalement constitué.

A l'adolescence, il est tout à fait normal de se poser de questions par rapport à la sexualité, il n'est pas toujours facile d'aborder ce questions en famille.

Au centre de Planning, la sexualité n'est pas un sujet tabou, nous vous offrons un lieu sécurisant et confidentiel pour dialoguer.

Lorsque l'on envoie des photos ou des sms à caractère sexuel (parties de son corps dénudées,...), ce n'est pas sans risque. Il se peut que le message ou les photos se retrouvent entre les mains de personnes à qui ils n'étaient pas destinés! Cela pourrait entrainer des conséquences insoupçonnées telles que ta réputation ou même te faire harceler...

Réfléchissons donc toujours bien avant d'envoyer ou de partager quelque chose avec d'autres! En effet, dès le moment où l'on envoie un sexto, nous perdons le contrôle de ce qui va advenir du message par la suite !